Série de l’été saison 2 : les idées reçues – épisode 2
Se syndiquer, c’est perdre sa liberté de penser.
L’origine de cette idée :
La partie visible du syndicalisme ne montre pas la place laissée à l’adhérent. Quelques fois les pratiques de certains militants ne donnent pas de place à l’adhérent.
Cela renvoie l’image de la pensée unique, du prêt-à-penser, du dogme, de l’endoctrinement. De plus, les militants d’une même organisation portent souvent le même message, sans divergence, les manifestants scandent les mêmes slogans, etc.
Le pourquoi :
Il faut distinguer deux éléments. D’une part le manque de connaissances qui conduit à imaginer négativement les informations qui manquent. D’autre part, l’interprétation des faits.
A la CFDT, lorsqu’un militant porte une revendication ou une position, il ne le fait pas en son nom propre mais en celui de son collectif, de son organisation. S’il est logique que les différences d’appréciation s’expriment au cours d’un débat que celles-ci s’effacent lorsqu’une décision collective est prise.
C’est un des principes du fonctionnement démocratique tel que le conçoit la CFDT.
Ce qu’il faut en retenir :
La CFDT combat ce genre d’idée et le prouve quotidiennement dans son organisation. Elle a choisi un syndicalisme démocratique construit autour des adhérents. Ces derniers constituent un vivier auprès duquel les militants remontent les informations de terrain à la CFDT.
La CFDT Capgemini a mis en place des groupes de travail (GT) sur différents thèmes auxquels peuvent participer tous les élus et mandatés CFDT ainsi que tous les adhérents. Les membres de ces GT contribuent aux débats et à l’élaboration des revendications. Celles-ci sont ensuite portées par les porteurs de mandat lors des négociations avec la direction.
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